Beaucoup parmi vous sont (ou songent) à la retraite. La démographie médicale fait que nombreux sont ceux qui n’ont (ou n’auront) pas de successeur. Jacques Rivoallan m’a communiqué, pour diffusion, des documents concernant l’archivage des dossiers médicaux. Voici les liens pour y accéder…
Si vous possédez d’autres informations sur la question pouvant être utiles , merci de me les communiquer afin que je puisse les publier.
- s’il s’agit d’un commentaire, rédigez le après avoir cliqué sur commentaires en bas de l’article
- s’il s’agit d’un article publié sur internet allez sur la page de l’article copiez son adresse (Windows faites Ctrl+L puis Ctrl+C et Mac faites Command+L puis Command+C), ensuite allez sur le site de la FNIAAIHRS rubrique « publiez un fichier » remplissez les fenêtres nom, prénom, adresse mail, sujet (archivage dossiers patients) puis faites Ctrl+V (ou Command+V) et envoyer.
- s’il s’agit d’un fichier (document scanné, fichier au format PDF, Word, jpg etc), allez sur le site de la FNIAAIHRS rubrique « publiez un fichier » remplissez les fenêtres nom, prénom, adresse mail, sujet (archivage dossiers patients), cliquer sur choisir un fichier, puis retrouver le sur votre ordinateur grâce à l’explorateur qui s’ouvre, sélectionner le fichier et l’envoyer.
Au nom de tous, je vous remercie par avance
4 Commentaires
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pour ma part lorsque j’ai quitté la métropole , j’ai archivé les dossiers sur un disque dur externe.
nous avons les dossiers informatisés depuis 2005 avec zéro papier
et on se débat avec des piles de dossiers à détruire les documents confidentiels
une immense tâche avec les dossiers très anciens
on y passe des demi-journées
Mes dossiers médicaux sont enregistrés sur disque dur avec sauvegardes depuis mon informatisation en 1987 (31 ans sur 34 d’activité) mais j’ai des archives papiers des examens complémentaires qui ne sont pas scannés !
Je pense qu’en conservant mes disques durs, cela devrait suffire et être légal !
Amitiés du doyen JCB
entièrement d’accord avec le coup de gueule de serge, et contre le politiquement correct excessif allant jusque dans les salles de garde ( zones privees de surcroit) ou les filles n’etaient pas les dernieres à déconner! JL