POÈME D’UNE NUIT PASSÉE proposé par Dominique H

Couchée dans mon lit, pensant à toi
J’ai senti ce besoin urgent
De t’attraper et de te serrer très fort,
Parce que je ne peux oublier la nuit dernière.

Tu es venu pendant cette nuit calme
Et ce qui est arrivé dans mon lit
Me laisse encore des sensations de picotements.

Tu es apparu de nulle part et,
Sans aucune gêne, ni retenue,
Tu t’es couché sur mon corps

Tu as senti mon indifférence,
Alors tu as commencé à me mordre sans remords
Et ça m’a rendue folle 

Ce matin, lorsque je me suis réveillée
Tu étais parti. Je t’ai cherché partout !
Sans succès !Seuls les draps sont les témoins
De ce qui s’est passé la nuit passée.

Mon corps porte encore les marques de ta visite,
ce qui rend encore plus dur ton oubli.
Ce soir, je vais rester réveillée à t’attendre …

… SALE MOUSTIQUE DE « MERDE « !

17 Commentaires

Passer au formulaire de commentaire

  1. lu

  2. Oh…. déçue !

  3. Merci de nous faire rire, Dominique ! ??
    Un bien fou !
    Magique le rire !

  4. Chute inattendue mais le double sens donne toute sa saveur à ce poème. Merci Dominique.

  5. en Afrique ( et ailleurs) le moustique il te pique il te nique et te mène à la clinique

  6. La piqûre de rappel de Farnos est particulièrement bien…. troussée.

  7. Chacun son style ! Reconnaissable entre mille !
    Merci Jean-Marie !??

  8. Si j’ ai envoyé ce poème c’est bien parce qu’il allait être tourné détourné et oserais-je retourné par les éminents membres de la Fniaaihrs

  9. Gagné, Dominique !???

  10. Joli ?

  11. c’est très bon merci dominique

  12. bien vu Dominique! je connais le même poeme en version grippe;;;

  13. merci bon we

  14. Je pense que de cette histoire dont parle Françoise :

    Une histoire d’amour. – Je te cherche et je te trouverai. – Au lit, je t’emporterai. De là, j’abuserai de toi. Je te ferai frémir, suer. Trembler jusqu’à e que tu gémisses. Je te ferai demander grâce. Jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. Je te rendrai faible au point où tu seras heureuse que j’aie fini. Et, quand j’aurai fini, faible pour des semaines tu seras. – Avec tout mon amour.- Signé : La Grippe !

  15. Quand j’étais interne à Arles, j’avais pris en grippe les moustiques qui s’agrippaient aux moustiquaires ! ce n’était pas un poème !

  16. Intéressante version de saison. Bon week-end à toutes et tous, sans cette importune de préférence.

  17. Houla la …C’est chaud . Je t’abandonne cinq sur cinq et point ne me vaccinerai !?

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.